Ce 15 octobre, journée mondiale de sensibilisation au deuil périnatal, est l’occasion de briser le silence autour de ce sujet pourtant bien réel pour bon nombres de parents.

En effet, le deuil périnatal reste encore un tabou aujourd’hui. Un peu comme s’il était moins légitime de perdre un enfant que l’on n’a pas vu grandir au sein de son foyer. Un bébé que, parfois, personne n’a vu ou entendu.

Pourtant, ces parents qui quittent la maternité sans leur bébé ou qui le perdent très vite après la naissance, ces mères dont la grossesse s’interrompt brutalement, ces familles qui attendent en vain l’arrivée de cet enfant à venir, sont bel et bien désemparés, sans toujours oser l’exprimer.

Le processus de deuil est déjà complexe en soi et, cela peut paraître paradoxal, il l’est d’autant plus pour un être que l’on n’a parfois jamais rencontré ou très peu. Car, contrairement à ce que l’on pourrait penser, des études ont démontré que les souvenirs sont un levier important pour les personnes endeuillés.

Même pour des expériences que la société ne légitime pas (comme une « fausse » couche), les émotions et la souffrance sont bien réelles et doivent être affrontées.

Si vous avez perdu un enfant avant ou peu après la naissance, sachez que ces dernières années, l’accompagnement des parents endeuillés par des professionnels spécifiquement formés a beaucoup progressé.

Si vous êtes concernés par cette situation, que ce soit parce que vous la vivez ou que c’est le cas d’un de vos proches, notre psychologue périnatale, Céline Herregods, est disponible pour vous recevoir au sein de notre cabinet si vous en ressentez le besoin.

N’hésitez pas à prendre contact avec elle au +32 497 55 36 71.

Si vous souhaitez en savoir plus sur la psychologie en périnatalité, vous pouvez consulter notre page dédiée à cette activité ICI.

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