La psychologie périnatale

La psychologie en périnatalité est un discipline qui entoure avec bienveillance les personnes concernées par la périnatalité, c’est à dire ce qui se passe autour de la naissance. Plus largement, cela concerne la période allant du désir d’enfant aux premières années de vie de l’enfant incluant la conception, la grossesse, l’accouchement et après celui-ci (le post-partum).

Céline Herregods, psychologue clinicienne au Cabinet Kempinaire, vous accompagnera dans toutes les problématiques spécifiques à la périnatalité et la parentalité. Elle est accompagnée de son chien Volt durant les séances de psychothérapie. Si vous ne souhaitez pas sa présence, il vous suffit de le signaler en toute simplicité. Vous trouverez plus de précisions à propos de la zoothérapie canine plus bas sur cette page.

Nous nous adressons aux couples et aux personnes, homme ou femme, qui désirent avoir un enfant, attendent l’arrivée d’un enfant, viennent d’accueillir ou de perdre un enfant (gestation pour autrui / grossesse / adoption/deuil) mais aussi à tout (futur) parent (seul ou en couple) rencontrant des difficultés ou se posant des questions relatives à sa parentalité.

Dans ce cadre, le psychologue tient à vous accompagner tout au long de votre chemin et à vous accorder une écoute attentive pour :

–           Reconnaître / valider votre souffrance

–           Accueillir vos interrogations, vos angoisses ou vos doutes

–           Verbaliser vos ressentis, exprimer l’indispensable

–           Identifier vos émotions et leur donner du sens

–           Accompagner le « devenir parent »

–           Soutenir la recherche de solution

Voici quelques situations fréquentes donnant lieu à des consultations périnatales :

–           Désir d’un enfant.

–           Parcours PMA (procréation médicalement assistée). Une situation d’infertilité prolongée ou définitive, rend particulièrement présente la question de devenir (un jour) parent, ses implications douloureuses sur les relations de couple et sur la sexualité, sur l’image de soi,…

–           Grossesse à risques.

–           Grossesse précoce (à l’adolescence) ou non planifiée ou non préparée dans un contexte à risque.

–           Annonce d’une anomalie fœtale, d’un handicap ou d’une maladie de votre enfant.

–           Complications médicales survenant lors de la grossesse ou de l’accouchement.

–           Accouchements traumatiques.

–           Angoisses (prénatales, postnatales, etc).

–           Difficultés transgénérationnelles.

–           Regret de maternité/paternité

–           Troubles de l’attachement au bébé nouvel arrivé.

–           Déni de grossesse.

–           Interruption de grossesse.

–           Prématurité:  les parents sont généralement peu préparés à l’éventualité d’une naissance survenant trop tôt et à ses conséquences.

–           Naissances multiples: exigeant des parents une adaptation particulièrement importante à tous niveaux (risques pendant la grossesse et après la naissance, risque couplé avec des naissances généralement prématurées, fatigue, anxiété, problèmes socio-économiques).

–           Deuil périnatal : fausse couche, décès de l’enfant, intervention médicale de grossesse visant un avortement thérapeutique, IVG impliquant une difficulté ou préventive.

–           Dépression post-partum.

–           Suivi de couple: la naissance peut être un grand bouleversement pour les parents.

–           Violence conjugale.

–           Burn out parental.

–           Etc.

Honoraires et remboursements

Les honoraires pour une consultation de 45 minutes s’élèvent à 65 €. Ils sont réclamés en espèces ou par paiement mobile (QR code) après chaque séance.

Vous pouvez vous renseigner auprès de votre mutuelle pour un remboursement partiel des séances. N’hésitez pas à nous apporter votre document de remboursement.

Conditions d’annulation

Les rendez-vous annulés dans les 24 heures sont dus (sauf conditions exceptionnelles) par respect vis-à-vis du professionnel mais aussi vis-à-vis des autres patients qui auraient pu profiter du créneau. Afin d’éviter cette compensation, il vous est demandé de nous prévenir de votre absence 24 heures à l’avance uniquement par téléphone au +32 497 55 36 71 .

La zoothérapie canine

Zoothérapie canine2023-09-19T15:43:08+00:00
Zoothérapie canine
Galerie

Céline Herregods est accompagnée de son chien Volt durant les séances de psychothérapie. La zoothérapie canine, discipline à part entière, est utilisée ici tant dans le cadre de la prise en charge périnatale que dans celle de la pédiatrie (enfants et adolescents) surtout pour eux si d’autres pistes thérapeutiques ont déjà été explorées sans succès (psychothérapie classique).

En effet, la psychothérapie canine permet de focaliser l’attention sur le chien et permet ainsi de libérer la parole et diminuer le stress ou l’inconfort que peut engendrer une consultation de psychothérapie.

La présence du chien apporte de nombreux bienfaits à la thérapie comme le renforcement de la confiance en soi ou l’amélioration des aptitudes sociales.

En effet, son contact est apaisant et libérateur. Avec une attitude naturellement non jugeante et bienveillante, le chien soutient le patient émotionnellement durant la séance.

Par ailleurs, elle permet aussi de proposer d’autres types d’interaction et d’activités, notamment en extérieur.


Le chien est un médiateur à la thérapie classique destinée aux enfants (même petits) et aux adolescents ainsi qu’aux (futurs) parents.

Cette thérapie, plus atypique, s’adresse à des enfants pour qui un suivi classique n’est pas ou plus pertinent. Elle peut également diminuer les résistances ou la crainte liées au travail de psychothérapie.

Les contre-indications sont : les allergies, la phobie ou la crainte.

Pour les adultes reçus en psychologie périnatale, sauf objection de leur part, Volt est également présent dans le cabinet. Nous y traitons les mêmes questions en bénéficiant d’un soutien émotionnel supplémentaire.

Les problématiques qui sont traitées chez les enfants en zoothérapie sont les mêmes qu’en thérapie classique, le chien étant un « facilitateur » :

–           les troubles du comportement;

–           la gestion problématique des émotions;

–           les difficultés sociales ;

–           le décrochage scolaire;

–           les dépressions;

–           les angoisses;

–           les troubles du sommeil;

–           les troubles de l’alimentation;

–           les troubles de l’attachement;

–           un manque d’estime de soi et de confiance en soi;

–           vécu difficile d’une séparation ;

–           deuil ;

–           etc.