Description du projet

Céline Herregods est accompagnée de son chien Volt durant les séances de psychothérapie. La zoothérapie canine, discipline à part entière, est utilisée ici tant dans le cadre de la prise en charge périnatale que dans celle de la pédiatrie (enfants et adolescents) surtout pour eux si d’autres pistes thérapeutiques ont déjà été explorées sans succès (psychothérapie classique).

En effet, la psychothérapie canine permet de focaliser l’attention sur le chien et permet ainsi de libérer la parole et diminuer le stress ou l’inconfort que peut engendrer une consultation de psychothérapie.

La présence du chien apporte de nombreux bienfaits à la thérapie comme le renforcement de la confiance en soi ou l’amélioration des aptitudes sociales.

En effet, son contact est apaisant et libérateur. Avec une attitude naturellement non jugeante et bienveillante, le chien soutient le patient émotionnellement durant la séance.

Par ailleurs, elle permet aussi de proposer d’autres types d’interaction et d’activités, notamment en extérieur.


Le chien est un médiateur à la thérapie classique destinée aux enfants (même petits) et aux adolescents ainsi qu’aux (futurs) parents.

Cette thérapie, plus atypique, s’adresse à des enfants pour qui un suivi classique n’est pas ou plus pertinent. Elle peut également diminuer les résistances ou la crainte liées au travail de psychothérapie.

Les contre-indications sont : les allergies, la phobie ou la crainte.

Pour les adultes reçus en psychologie périnatale, sauf objection de leur part, Volt est également présent dans le cabinet. Nous y traitons les mêmes questions en bénéficiant d’un soutien émotionnel supplémentaire.

Les problématiques qui sont traitées chez les enfants en zoothérapie sont les mêmes qu’en thérapie classique, le chien étant un « facilitateur » :

–           les troubles du comportement;

–           la gestion problématique des émotions;

–           les difficultés sociales ;

–           le décrochage scolaire;

–           les dépressions;

–           les angoisses;

–           les troubles du sommeil;

–           les troubles de l’alimentation;

–           les troubles de l’attachement;

–           un manque d’estime de soi et de confiance en soi;

–           vécu difficile d’une séparation ;

–           deuil ;

–           etc.

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